TEST : Pizza Connection 3, mets-moi une 4 fromages chef !

Vous attendez avec impatience nos tests à venir de Ni No Kuni 2, Yakuza 6 ou encore God of War ? Et si on se faisait une petite soirée pizza en attendant ? Pizza Connection 3, c’est de la gestion à l’ancienne sur PC, dans un jeu vraiment sympa et plutôt complet, et qui sort 17 ans après le deuxième opus. C’est parti !


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Les jeux de gestion ont bercé notre enfance, avec une mention toute particulière pour Theme Park, sur lequel nous avons passé un paquet d’heures sur Megadrive ou encore Sega Saturn. Pizza Connection 3 reprend un peu ce concept : commencer en bas de l’échelle, grandir, évoluer, jusqu’à mener à bien son business et s’en mettre plein les fouilles. Ainsi, on commencera sa carrière professionnelle dans un food truck, histoire de se faire la main dans le mode campagne (préférez le mode libre pour davantage de tranquillité). Vouloir vendre ses pizzas, c’est bien, mais il faudra prendre en compte tous les paramètres du jeu, et bien choisir son emplacement et ce que l’on vend. Se placer vers un chantier permettra de se mettre les ouvriers dans la poche, mais un étudiant sortant des cours avec une bonne grosse dalle se retrouvera quelque peu délaissé. Gérer sa clientèle est donc primordial, et ouvrir aux heures adaptées pour un taux de fréquentation optimal sera également vital. Le but ultime ? Gagner du pognon, évidemment ! 


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Le business devenant florissant, il faudra désormais parler immobilier, et acheter des bâtiments pour ouvrir vos restaurants. Un peu comme dans les Sims, on prendra plaisir à gérer ses intérieurs et à mettre en place ses salles. Cette phase de décoration est plutôt sympa et ne sera pas à négliger, en prenant en compte une nouvelle fois le type de clientèle à venir. Enfin, pour que le business roule, il faudra passer par la case « embauche », et recruter un cuistot, un garçon de salle et un livreur. Suivant leur attentes et leurs compétences, on décidera de leurs salaires. A vous de bien gérer la chose pour ne pas vous mettre de bâtons dans les roues. Le jeu s’avère assez complet, et une partie marketing sera même de la partie, avec la possibilité de faire de la pub, d’engager une mascotte, ou même un gangster pour aller titiller la concurrence. On retrouve, une nouvelle fois, cet esprit Theme Park, assez complet, mais surtout accessible. Le jeu s’avère qui plus est assez joli et coloré, ce qui n’est pas pour nous déplaire.


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Dernière chose, et non des moindres : il est possible, dans Pizza Connection 3, de créer ses propres pizzas. Faites parler votre créativité, et utilisez les nombreux ingrédients à votre disposition pour créer des pizzas plus ou moins farfelues, et les mettre sur votre carte. C’est vraiment rigolo, mais attention : vos clients seront parfois tatillon !


Pizza Connection 3 est un jeu qui change un peu de l’ordinaire. Disponible sur steam, le titre s’avère un peu répétitif à la longue mais sent bon les années 2000 et rappelle fortement l’excellentissime Theme Park, avec ses chouettes graphismes, ses possibilités variées, une dose d’humour, et un côté gestion bien foutu. Un jeu dont on parle trop peu, et c’est bien dommage.


Les +

  • de la gestion comme on aime
  • simple à prendre en main
  • graphiquement plutôt joli
  • gérer son business devient vite accrocheur
  • modes campagne et libre
  • le mode création de pizza vraiment sympa

Les – 

  • un peu répétitif à la longue
  • mode campagne plutôt court

Lageekroom

2 pensées sur “TEST : Pizza Connection 3, mets-moi une 4 fromages chef !

  • 11 mai 2023 à 17 h 51 min
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    Je vais tenté de vous apporter un topo complet compte tenu des quelques heures passées sur Pizza Tycoon sur PS5.
    Tout d abord les points négatifs: la navigation dans les menus du jeu est tout bonnement injouable, vous devez en permanence appuyer sur rond pour revenir une fois en arrière puis carrée pour naviguer entre la vue curseur et la vue fenêtre pour finalement jongler entre les deux joysticks pour accéder aux différents tableaux.
    Graphiquement on est proche des premiers Tycoon des années 2000 , les clients passent (souvent) a travers les textures et n’ont qu une seule même phrase a la fin de leur repas. Certains menus ne sont pas expliqué si bien que parfois vous pouvez vous retrouver à vider votre réserve sans savoir vraiment ce que vous faites.
    Les icônes qui vous annoncent un évènement sont difficilement accessibles et disparaissent au bout d’un court laps de temps. En 2023, j estime que ce gameplay aurait pu être étudié autrement, d’autres l’ayant déjà prouvé comme Jurassic World Évolution par exemple.
    Les points positifs maintenant: le jeu est certes difficile mais malgré tout complet quand on a compris la gestion des menus , vous pouvez gérer les plannings salariés, la disposition et l’ameublement du restaurant, évoluer via un système de recherche qui apporte une sacré bouffée d’air au démarrage. Des évènements comme les employés malades nous montre bien la difficulté qu engendre un salarié manquant et la perte de recettes qui va avec.

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